Luchon AnetoTrail

C’est parti pour le Luchon AnetoTrail !

Les 7, 8 et 9 juillet, une HAPPY team s’est retrouvée à Luchon, près de Toulouse, pour un super weekend Luchon AnetoTrail ! Au programme ? La Venasque et ses 45kms, 2800m de dénivelé positif, pour certains et un combiné de deux courses pour d’autres : la KBour, 21 kms et 1300m de dénivelé positif, et la Ravi-Sente, 14kms et 650m de dénivelé positif.

Nos Happy Traileurs nous racontent leurs meilleurs souvenirs !

Louise, combiné 21 + 14kms

Le weekend à Luchon a été encore une fois un super weekend avec les copains du Happy Running Crew !

Je partais là bas pour y découvrir le trail et je n’ai pas été déçue ! Le premier trail (21km 1300D+) m’a mis dans le bain tout de suite. La montée était bien raide et je n’ai pas réussi à apprivoiser la descente comme je l’aurai voulu si bien qu’on a pratiquement marché tout du long. Mais peu importe ! J’en ai profité pour faire la connaissance de Juliette et pour discuter avec plein d’autres coureurs, ce qui n’est pas plus mal ! La deuxième course (14km, 650D+) s’est beaucoup mieux passée.

Le parcours, beaucoup plus roulant, nous a permis, à Christelle et à moi, de courir beaucoup plus que la veille et donc de s’éclater un peu plus 🙂 J’étais super contente de faire cette deuxième course avec elle !

Je ne sais pas si j’ai adoré le trail, même si le parcours, le paysage et la vue étaient magnifique, j’étais un peu frustrée de ne pas courir davantage… Je crois que je préfère ma bonne vieille route et les plus grosses distances 😉

En dehors de cela, c’était vraiment chouette de vivre ces deux jours avec les copains ! Un super accueil dans la team bordelaise que je commence à bien connaître maintenant <3 La maison que l’on a loué était vraiment très belle (merci Eva!) 🙂 Yann et Yannis nous ont régalé du début jusqu’à la fin, de véritables chefs ! Et notre supportrice de choc, ma Margot, que l’on a croisé à chaque coin de forêt et qui nous a reboosté un peu plus chaque fois ! Et encore et toujours beaucoup trop d’amour ! <3

Un weekend extra qui se termine avec une réadhésion au HappyRunningCrew ! Les copains, je resigne de suite pour un autre weekend comme celui-ci 🙂

Juliette, combiné 21 + 14kms

Le week-end à Luchon a commencé par de la route, beaucoup de route même… Cependant, après plusieurs trains, c’était très agréable de continuer le chemin dans la voiture d’Eva, avec Christelle et Lionel. On a pu faire connaissance pendant plusieurs heures, tout en sachant que le reste du groupe (ou presque) était déjà arrivé, et qu’un bon repas nous attendait. Nous avions loué une grande maison pour nous, les quatorze coureurs qui allaient parcourir les Pyrénées pendant deux jours.
La rencontre avec eux se fit de manière très conviviale, naturelle même, et pour moi qui ne connaissais personne, c’était vraiment parfait ! Nous étions tous logés dans de grandes chambres à plusieurs lits, il y avait comme une ambiance de dortoir. Ce soir là n’a pas du tout ressemblé à une veille de course pleine de stress et d’impatience.
La course n’ayant lieu que l’après-midi et après une bonne nuit de sommeil, on s’est tous levés à notre rythme, puis on s’est mis en route pour récupérer Louise à la gare et nos dossards en centre ville. Le temps était à la pluie et la cime des montagnes avait disparue dans les nuages. J’avoue m’être dit qu’arriver en haut sans rien voir, serait une déception… Mais heureusement, après un bon repas et une petite sieste, la pluie s’est enfin arrêtée !
La première course était la Kbour. Le départ se fit dans la ville, mais nous avons très vite commencé à monter. Si Aude et Julie sont parties vite, avec Eva, Christelle et Louise, nous sommes restées plus prudentes, il ne fallait pas partir trop vite ! Les coureurs avec bâtons ont vite pris leur aise. Le chemin étant étroit, dès que l’un d’eux nous doublait, nous étions séparées les unes des autres. C’est comme ça qu’Eva et Christelle sont parties devant et que Louise et moi sommes restées ensemble.
La course était composée d’une unique montée et donc, d’une unique descente. Nous avons donc pris notre temps dans la montée, faisant connaissance entre nous, mais aussi avec les autres coureurs ! Contrairement aux courses sur route que nous connaissions mieux Louise et moi, le contact avec les autres est plus facile dans ce genre de course. Nous avons donc bavardé tout du long, découvrant un paysage de moins en moins boisé et une vue de plus en plus belle : ça valait vraiment le coup d’avoir les cuisses qui tiraillent !

Ouïe la montée !

La montée se fit de plus en plus raide, mais de plus en plus large aussi. Quand on a enfin entendu des encouragements, cela nous a donné un second souffle parce qu’on savait que les copains nous attendaient là haut (et le ravitaillement aussi, accessoirement 😉 ). Ils étaient tous là, assis dans l’herbe, nous tapant dans les mains et nous aidant dans les derniers mètres de montée grâce à leurs encouragements. Et puis, ç’a été la descente ! On s’est mises à gambader entre les champs et les quelques vaches qui nous regardaient.
On a enfin pu permettre à nos jambes de se dégourdir un peu ! Certains passages étaient durs et techniques, et même si on ralentissait un peu, on a pu profiter du parcours, sautillant entre les pierres et les racines. Quand la fatigue a commencé à se faire sentir, le mégaphone d’en bas est arrivé jusqu’à nos oreilles. Il y a eu encore quelques montées « casse-pattes », mais quand enfin, nous avons vu l’arrivée et les copains qui nous attendaient, on a accéléré. C’est en se tenant par la main qu’on a fini cette course, heureuses et encore pleines d’énergie pour le lendemain !
Le soir est arrivé assez vite. Comme pour le midi, Yann et Yannis nous avaient préparer un bon repas ! C’était une soirée tranquille et on a pu digérer notre course tranquillement. Je n’ai pas réussi à bien dormir… J’avais couru sur de splendides chemins et même si j’étais très fatiguée, je savais que dans quelques heures, on se remettrait en selle !

Des courageux..

Nous sommes tous partis, un peu plus tôt, pour le départ de Yann, Lionel, Adrien, Yannis, Chloé et Cédric qui couraient le 45kms. Ils n’avaient pas l’air de trop appréhender la course, juste pressés d’en découdre avec la montagne ! Ça donnait envie d’y aller nous aussi. On les a vu partir tous souriants et on a alors attendu notre tour pour la Ravi-Sente du Luchon AnetoTrail.
Une heure et quelques photos plus tard, c’était à nous ! Je n’avais jamais couru deux courses l’une après l’autre, et j’étais heureuse de m’être économisée la veille. On a commencé par la même montée que la veille. J’avais bien envie de pousser un peu, alors j’ai doucement rattrapé Alice et son t-shirt blanc « Happy Running Crew » facilement repérable, qui, malgré ses dires, était loin d’être dernière ! On a bavardé un peu, et puis les descentes me faisant vraiment envie, je suis partie devant. La Ravi-Sente a été une suite de montées et de descentes.
C’était agréable de pouvoir gambader en continue, ou presque ! Le chemin passait près des rivières, sur des ponts, un peu au dessus de la cime des arbres… C’était beau, c’était roulant ! Même si la course de la veille était tout aussi bien, celle-ci me permettait cependant de terminer sans remords, en me donnant et m’amusant à fond. Je suis arrivée en accélérant toujours plus parce que plus on descendait, plus on entendait les gens à l’arrivée et plus mes jambes couraient d’elles-mêmes ! Et puis en arrivant sur le bitume, j’ai vu Aude et Julie, je les ai entendues et j’ai laissé partir les chevaux. J’ai laissé mes jambes se faire emporter jusqu’à l’arrivée !
Ces deux courses ont été géniales, tout comme l’a été ce week-end ! Je pense que chacun s’en souviendra longtemps ! Ensuite, tout est allé très vite… Nous avons rangé la maison, réceptionné les champions de la Venasque, fatigués mais heureux, avec des crêpes et du saucisson, préparé le départ… On s’est dit au revoir, en nous promettant de remettre ça, et vite !

Christelle, combiné 21 + 14kms

Le trail de Luchon annonçait la dernière course de la saison, mais pas des moindres puisque je prenais le départ avec une partie des HAPPY runners pour un 21km 1300m D+, suivi d’un 14km 650m D+ le lendemain. Nous allions donc en prendre plein les yeux ! La météo annonçait de la pluie et de l’orage tout le week-end, mais par chance le soleil fut de la partie pour nous permettre d’admirer la vue aux points culminants.

Le départ de la première course était prévu samedi à 14h et j’appréhendais un peu cet horaire ne sachant quoi manger avant. Un plat de pâtes (le bon basique qui tient tout l’après-midi) avalé et nous voilà sur la ligne de départ, tout sourire, sans nous rendre vraiment compte de ce qui nous attendait là-haut… L’ambiance était conviviale et festive avec seulement 400 participants !

Ça changeait des courses parisiennes et j’en étais ravie ! Au moment du départ, je découvrais de plus en plus les filles avec qui je passerai le week-end Luchon AnetoTrail : nous venions d’un peu partout sans forcément nous connaître, mais avec la même philosophie : courir dans la bonne humeur 🙂

Le départ donné, nous nous fîmes vite doubler par les participants qui se lançaient rapidement dans la seule route bétonnée du parcours et j’avais compris trop tard leur adresse : la montée ne se fit pas attendre et il fut difficile de doubler plus lents que moi… Qu’importe, je n’étais pas là pour le chrono, mais pour profiter de la montagne et des copines ! Malheureusement, je perdis vite les filles dans la montée, restées derrière moi et j’avançais aussi vite que je pouvais, car j’aime vraiment les montées.

Sauf que cette montée là, je ne m’y attendais pas ! Elle dura longtemps, trop longtemps, pendant 2h… La chaleur se faisait sentir, je transpirais beaucoup, le cardio n’était pas bon et j’enviais ceux aux bâtons. Mais quelle joie d’arriver au sommet de la course et de voir le reste du Happy Running Crew t’encourager ! Et quelle vue !

La vue, ce cadeau !

Moment farniente avec le ravito au soleil et quelques photos des montagnes, et c’était reparti : place à la descente, enfin ! Sauf que mes jambes n’étaient pas du tout prêtes et semblaient déjà bien fatiguées… Je partis doucement, en espérant qu’elles se détendraient, afin de prendre de la vitesse par la suite, mais les douleurs persistaient et je n’avais pas du tout l’habitude de ce genre de descentes un peu trop raide pour moi. Montagne = 1 / Paris = 0 😉

Je décidais donc que la descente serait moins rapide que ce que j’aimerais et m’accordais de temps à autres une pause. Ce qui me permis de discuter avec d’autres coureurs et me retrouver parfois complètement seule dans les sentiers de montagne.Il y avait là quelque chose de magique dans ces moments d’introspection !

Vite, vite, bientôt la fin !

Retour à la réalité quand un bénévole m’annonçait qu’il ne me restait que 5 minutes de course avant l’arrivée : la douleur dans les jambes s’envola, l’énergie revint soudain et je gambadais joyeusement les derniers mètres de dénivelé qui me séparaient de l’arche avec un autre traileur, avant d’être accueillie comme une championne par les copains et le chéri ! Passer la ligne d’arrivée d’une course difficile est un réel moment d’accomplissement de soi !

Le lendemain matin, tout le monde s’activa dans la maison : départ du 14km pour certains et du 45km pour les autres. Le temps de faire la photo de groupe des happy traileurs, d’aller encourager les plus courageux sur la ligne de départ, et nous voilà à nouveau partis pour crapahuter dans la montagne ! Margot, ne pouvant pas courir, mais venue quand même tout le week-end pour nous soutenir, nous acclama vivement ! Il y avait beaucoup d’euphorie dans ce départ là !

Les jambes commencent à tirer…

Les jambes étaient encore fatiguées et la montée s’annonçait plus raide que celle de la veille… Le souffle court, nous restions ensemble et utilisions l’énergie du groupe pour avancer et doubler du monde. Mais les filles avaient beaucoup d’énergie à revendre et allaient vite me distancer dans les descentes. Je décidais de rester avec Louise  à un rythme plus tranquille. Le parcours était plus agréable que la veille, nous courions plus fréquemment, alternant montées et descentes dans les sentiers.

Nous passions par un pont suspendu, en profitions pour prendre des photos, traversions des centaines de mètres de boue, longions une rivière et blaguions avec les autres coureurs. Margot nous a épaté en nous retrouvant à plusieurs endroits du parcours et en nous motivant avec son sourire et sa bonne humeur ! Malgré les jambes qui tiraient encore, la course semblait bien plus facile que les 21km de la veille, notamment grâce à nos échanges avec Louise. J’ai pour habitude de participer seule à des courses, mais je trouve que le trail est bien plus motivant à plusieurs.

Nous retrouvions la fin du parcours identique à celui de la veille, avec une vue incroyable sur Luchon avant de parcourir les derniers kilomètres. Belle surprise, Aurore nous attendait à la sortie du sentier pour nous encourager et Louise et moi sprintions main dans la main jusqu’à l’arrivée ! Nous retrouvions au ravitaillement les coureurs avec qui nous avions partagé la course. Les happy runneuses qui nous devançaient. Nous étions heureuses et fatiguées de nos exploits, avec une pensée pour ceux qui étaient encore là-haut et que nous retrouverions seulement quelques heures plus tard.

Je garde un sentiment de fierté suite à ce premier week-end de trail en montagne, bien plus difficile que je ne pensais ce Luchon AnetoTrail ! Changer de terrain n’est pas facile, mais c’est un défi que je me lance avec plaisir pour les prochaines courses ! Surtout avec le Happy Running Crew et ses bonnes rencontres 🙂

Alice, la Ravi-Sente 14kms

Vendredi

A 16h30, je terminais ma semaine de travail. Je me suis dirigée vers une aire de covoiturage d’Albi pour prendre deux passagers Blablacar jusqu’à Toulouse. Cedric, bloqué dans les bouchons, m’a rejoint au rdv à Toulouse et nous avons continué le trajet ensemble jusqu’à Luchon. A 20h, nous sommes arrivés au super logement qu’Eva avait déniché ! Nous avons attendu Chloé, Adrien et Margot qui étaient partis faire les courses. Ils sont arrivés, j’ai pris ma sœur dans les bras et nous avons découvert la maison, idéale pour un weekend comme celui ci ! Au rez-de-chaussée : salon, cuisine et salle à manger. Puis deux étages avec 4 chambres et 14 couchages. Nous avons piqué une tête dans la piscine. Chloé a sauté sur le trampoline comme une enfant. 🙂 Nous avons commencé à préparer à manger en attendant les bordelais. Nous avons mangé. Et après l’arrivée des Rochelais : au dodo !

Samedi

Ce jour là, la course Kbour de 20 km était à l’honneur ! Toutes les filles y participaient (hormis Margot qui était venue en super supportrice et moi, petite joueuse). Le matin, nous sommes allés récupérer nos dossards sous la pluie. Beaucoup de monde était présent et l’attente fût longue. Nous sommes rentrés et nous avons vite mangé. Les supporters sont allés voir les filles sur le parcours à Superbagnères. Petite péripétie pour Chloé, Adrien, Lionel et moi : plus d’essence dans la voiture. Nous avons été obligés de faire demi-tour au village pour remplir le réservoir de la voiture. Une fois arrivés en haut, nous avons encouragé nos petites poulaines dans cette grande montée ! Lorsqu’elles étaient toutes passées, nous sommes redescendus à l’arrivée. Nous avons loupé les Rochelaises mais étions aux premières loges pour les autres.

Dimanche :

C’était le jour de deux courses. La Vénasque pour les tous les garçons et la petite Cloclo, et la Ravi Sente pour toutes celles de la veille et MOI ! Grosse appréhension ! Je n’étais pas du tout entraînée et me voyais bonne dernière.

Nous sommes tous partis pour le départ de la Vénasque à 8h. Nous avons eu le temps de discuter, de boire, de faire des photos, un dernier pipi. Dans le sas, nous avons préparé notre montre et à 9h c’était parti ! Les filles connaissaient déjà le début du parcours. Quelques centaines de mètres en ville et après un virage, déjà une première grosse montée. Nous sommes restées groupées (hormis les rochelaises qui étaient déjà loin devant). À la fin de la montée, j’avais perdu les filles. En général, je suis bien plus à l’aise dans les descentes que dans les montées.

Là, j’ai entendu « Allez Alice ! ». Mais c’était qui ? J’ai levé la tête et j’ai reconnu Margot. Mais qu’est ce qu’elle faisait là ? Elle devait aller sur le parcours de la Vénasque.

Je lui ai fait coucou et la motivation est repartie ! Quelques km plus loin, Juliette m’a rattrapé. Elle est restée avec moi quelques minutes, m’a proposé de l’eau (comme je n’étais pas du tout équipée). Nous avons entendu au loin « Allez les filles ! ». Encore Margot ! Ensuite, Juliette m’a semé. Un peu plus loin, j’avais toujours Juliette en ligne de mire. J’apercevais Eva qui était sur mes pas. Eva m’a rejoint juste avant le ravito.

Nous avons continué la course ensemble. Elle me motivait dans les montées et je la tirais dans les descentes. Nous serions certainement arrivées avant si nous ne nous étions pas attendu l’un et l’autre. Le moral était incomparable dans ces conditions ! Je n’ai pas vu passé la deuxième partie de la course. Nous avons commencé à attendre le bruit du village.

Plus qu’une descente en lacet et nous étions à l’arrivée ! Nous avons vu Aude, Julie et Juliette sur la droite et j’ai adoré voir leur tête surprise. Dernier virage, j’ai pris la main d’Eva et nous avons couru tout droit vers la ligne d’arrivée. A gauche, nous avons revu la supportrice #1 Margot. Nous avons passé l’arche, c’était la fin, j’avais réussi ! Après un tour au ravito, nous avons rejoint l’équipe pour attendre l’arrivée de Louise et Christelle. Les voilà, ensemble, tout sourire !

Une fois toutes réunies, nous sommes rentrées pour manger et se doucher. Une partie des filles sont parties voir les plus courageux à l’hospice de France. Louise, Juliette et moi avons fini le ménage. Nous sommes ensuite parties à l’arrivée pour rejoindre tout le monde, attendre nos super coureurs. Nous avons eu le regret de constater que l’on avait raté l’arrivée de Yann…

Nous l’avons retrouvé assez fatigué, mais après 4 compotes, notre pote allait mieux ! Christelle nous a rejoint juste avant l’arrivée de Lionel. Un bon moment après, nous avons appris qu’Adrien s’était encore blessée à la cheville. Avec Louise et Juliette, nous avons décidé d’aller les chercher un peu plus haut. Nous les avons vu de loin, nous les avons encouragé. Nous avons couru avec eux la dernière centaine de mètres, jusqu’à l’arrivée. Pas le temps de s’asseoir bien longtemps car nous apercevons déjà la petite Chloé. Je suis vite passée au dessus de la barrière et j’ai couru avec elle jusqu’à l’arrivée.

Fière de ma soeur !

Que ce petit corps peut faire de grandes choses ! J’étais fière d’elle ! <3 J’ai pris ces bâtons et son sac. Je l’ai laissé se reposer et profiter du ravito. Nous avons retrouvé la troupe en attendant l’arrivée de Cédric. Chloé m’a demandé d’aller faire des photos. Puis, nous avons été rejoint par Louise et Juliette et nous avons attendu Cédric un peu plus haut. Dès que nous l’avons aperçu, nous avons couru avec lui. Il était tellement content d’être à l’arrivée que nous n’arrivions même pas à le suivre ! Il a accéléré et passé la ligne d’arrivée du Luchon AnetoTrail.

Nous sommes rentrés, tout le monde s’est douché et a mangé un peu. Ensuite, nous avons chargé les voitures, sorti les poubelles et les affaires de Yann par la même occasion. C’était la fin du weekend ! Nous avons fait une photo de groupe en souvenir et chaque covoiturage est parti…

Pour résumer, ce fut un weekend sportif en bonne compagnie. Une telle ambiance m’a fait repoussé mes limites ! Merci Luchon AnetoTrail, et à très vite !

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